“Sans adresse” de Pierre Vinclair dans Diacritik (04/02/2019)
“Les sonnets que Pierre Vinclair nous propose dans Sans adresse valent pour eux-mêmes, mais aussi, et surtout, pour les écarts et les espaces nouveaux qu’ils ménagent au sein du territoire poétique, ce monde sans bords.”
“La vache d'entropie” d'Ivar Ch'Vavar dans la revue “Décharge” (28/01/2019)
Une lecture de La vache d'entropie d'Ivar Ch'Vavar par Claude Vercey dans la revue Décharge. L’article évoque également le beau volume de la collection “Présence de la poésie” (Éditions des Vanneaux) consacré à Ivar Ch'Vavar et brillamment présenté par Charles-Mézence Briseul. À lire !
“La vache d'entropie” d'Ivar Ch'Vavar sur le blog “Les Découvreurs” (22/01/2019)
Avec Georges Guillain, nous espérons que de “nouveaux ‘yeux plein d’abeilles’ se portent vers l’œuvre proprement sidérante de Pierre Ivart, le vrai nom du poète Ivar Ch’Vavar, et sachent enfin découvrir dans ce « péquenot du cosmos », comme il se dit lui-même, un grand artiste de notre temps.” Sa formidable lecture de La vache d’entropieest à retrouver sur le blog
Un entretien d'Olivier Jacquemond autour du "Jeu et l'ennui" sur le site “Agenda Culturel” (19/01/2019)
À lire sur le site Agenda Culturel, un entretien d'Olivier Jacquemond autour du Jeu et l'ennui !
“Ecrivain, poète et philosophe, Olivier Jacquemond mène une expérience littéraire trans média et trans artistique sur Instragram, intitulée @livrefantome. Pour l’Agenda Culturel, il parle de son dernier ouvrage, Le jeu et l’ennui publié aux éditions Lurlure.”
“Sans adresse” de Pierre Vinclair dans le nouveau numéro de “Terre à ciel” (17/01/2019)
Des choses réjouissantes à lire dans la nouvelle livraison de Terre à ciel : une “Anthologie du sonnet contemporain” dans laquelle on trouvera deux sonnets de Pierre Vinclair extraits de Sans adresse ainsi que des poèmes de Christian Prigent, Laurent Albarracin ou William Cliff (et d’autres !). Et dans la rubrique “Hep !
“Sans adresse” de Pierre Vinclair sur “Sitaudis” (29/12/2018)
“Vous ne lisez plus guère de poésie ? Les plaquettes contemporaines vous fatiguent ? – Il y a pourtant des exceptions. Vous auriez bien tort, dirais-je comme Polac naguère, de ne pas lire ce Sans adresse.